Ce que mes trous réclament

Je suis seule...

Seule dans notre salon, nue, les cuisses écartées, les doigts se promenant entre mes cuisses. 

J’ai encore ton odeur sur les mains qui se mélangent à la mienne, ton goût sur ma langue que je tente de récupérer en me léchant les doigts, à la recherche des sensations d'une bonne pipe.

Je sens encore l'empreinte de tes mains sur mes hanches.

Putain, j’arrête pas de penser à toi. 

À ta queue, à tes mains, à ta voix qui me contrôle. 

J’essaie de me calmer, mais dès que je ferme les yeux, je revois tout et je ne peux pas m’empêcher de me branler.

Je me caresse doucement, lentement, mes doigts tremblants glissant entre mes lèvres chaudes et luisantes.

Tu m’as laissée comme ça, trempée, frustrée, sans me terminer en me disant d'attendre sagement ce soir tout en m'incitant à m'exciter seule.

C'est délicieusement pervers, mais j'ai besoin de jouir et je sais que tu le sais... 

J’ai besoin de jouir, besoin de sentir mon clito éclater sous mes doigts. 

Mais c’est toi qui me manques, c’est ta queue que je veux.

Je veux ton odeur, ta voix, ton foutre. 

Je suis foutue, j’ai besoin de toi, jouir de toi, pour toi, devant toi... 

Je joue avec mes tétons dressés et je les pince fort, je les tords presque, juste pour essayer de retrouver la douleur délicieuse de tes dents qui les mordille. 

Mais ça ne suffit pas. 

Je me sens vide. 

Je veux me faire remplir...

Vide sans toi, sans ton poids sur mon dos, contre mon cul, sans ta voix dans mon oreille. 

J’ai envie de me frotter, de me remplir, mais je sais que ça ne sera jamais assez. 

Je te veux partout, je te sens partout, tous mes trous te réclament.

Je sais que seule, je ne suis qu’une salope en manque de ta queue, de tes doigts, de ta langue.

Je veux tout ça aussi ! Partout... 

Je ne peux pas m'en empêcher, je glisse deux doigts dans ma chatte, lentement, mais c’est fade. 

Sans toi, c’est fade, c’est creux, c’est frustrant. 

Je veux que tu sois là, que tu me regardes, que tu me dises d’ouvrir, de jouir, de gémir, de couiner comme une chienne en tirant la langue. 

Je veux que tu me contrôles, que tu me possèdes, que tu m'envahisse la bouche, la chatte et le cul. 

Sans toi, j'ai l'impression d'être qu’un putain de jouet sans pile.

Je me cambre, je frotte plus vite, plus fort, mes jambes se tordent. 

Je m’imagine ta voix dans ma tête :  

“Jouis, ma salope. Montre-moi à quel point t'aime être ma bonne chienne trempée.”  
 

Et là, je me laisse aller.

Mais j'ai envie de plus... J'ai honte... C'est délicieux...

Je sors deux godes que je m'empresse de rincer à l'eau chaude pour avoir les sensations de vrai queues.

Je suis terriblement excitée à l'idée de faire ça mais je veux te le partager.

Je m’apprête à m'enfiler pour toi, en pensant à toi.

Je veux que tu mate ta bonne chienne à l’œuvre, celle que tu as fait de moi, pour toi, pour nous.

Je positionne le téléphone bien calé en face de moi prêt à enregistrer, je cadre, j'actionne...

Mon bas ventre est en feu.

Je me fous à quatre pattes de profil. 

Je positionne un gode droit sous mon cul et je prends le plus gros près de ma bouche pour pomper pendant que ma chatte est prise.

Je m'enfonce d'un coup sec dessus comme quand tu me baise sans préliminaire pour faire jaillir mon jus brutalement sauf que là ma chatte est déjà trempée.

Ma fente avale ta queue comme si elle était déjà trempée de cyprine et de foutre mêlé et pendant que je m'empale sur ta queue en remuant lubriquement le cul, je te suce salement en bavant jusqu'à tes couilles...

Tu es partout.

Même mon cul semble s'ouvrir et se faire prendre profond.

Mon esprit se perds dans ce moment de fantasme, cette branlette totale, cette baise soumise par procuration. 

Je voulais changer de position pour t'offrir un autre angle mais la jouissance m'arrache plusieurs giclés violente qui expulse le gode hors de moi et inonde le canapé sur lequel tu me baise comme une chienne vicieuse. 

Je jouis bruyamment dans des râles de libération, seule, trempée, vidée, soulagée, mais insatisfaite. 

Parce que sans toi, ce n’est pas vraiment jouir, ce n’est qu’un écho, un souvenir, un manque que j'ai heureusement filmé pour te montrer que j'ai pas pu rester sage et que j'espère une punition que tu me donnera par mon petit trou qui est resté "vierge" durant ces quelques minutes.

Je reste allongée sur le lit, le souffle court près d'un gode que j'ai sucé, la chatte dégoulinante et les jambes tremblantes autour de celui que j'ai chevauché. 

Et je me promets que la prochaine fois, je te supplierai, je te montrerai à quel point je veux jouir qu'avec toi, même sans toi. 

Que tu sache que je te veux au début, pendant et à la fin de bout en bout.

A quel point j’ai besoin de toi pour être complète. 

À quel point tout mon corps te réclame. 

À quel point je suis Ta Chienne.

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